Dépistage du cancer du col de l’utérus : désormais en auto-prélèvement

Les virus HPV ou papillomavirus humains sont retrouvés dans plus de 99% des cas de cancer du col de l’utérus. Il existe plus de 200 types d’HPV et parmi ceux-ci 30 peuvent être responsables d’infections génitales. Environ 80% des femmes sont infectées par ces virus au cours de leur vie.

La transmission a lieu le plus souvent dans les premières années de la vie sexuelle. Ces virus se transmettent par simple contact au niveau des parties génitales, le plus souvent lors de rapports sexuels, avec ou sans pénétration.

La vaccination est recommandée avant les premiers rapports et protège contre certains types de HPV, c’est pourquoi, même vacciné, il faut se faire dépister.

Chaque année en France, 3000 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus sont diagnostiqués (données INCA) : avec le dépistage, 90% des cancers du col de l’utérus peuvent être évités.

Les nouvelles recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS) préconisent en premier la recherche du virus HPV pour les femmes entre 30 et 65 ans.

BIOFUTUR (INOVIE Groupe) participe activement à la lutte contre le virus HPV, en proposant notamment un dépistage par auto-prélèvement vaginal. Ce test de dépistage du cancer du col de l’utérus est une nouvelle alternative au frottis cervico-utérin pour les femmes non dépistées.

Comment se réalise l’auto-prélèvement vaginal ? Il consiste à récupérer, soi-même, quelques cellules au niveau de la partie basse du vagin par léger frottement à l’aide d’un écouvillon (grand coton-tige dans un tube stérile en plastique). La réalisation de l’auto-prélèvement vaginal est sans risque, simple et sans douleur.

Alors, dépistons-nous pour lutter contre HPV et le cancer du col de l’utérus !